Vers
une cuisine
engagée

Amoureux de la nature, nous constatons avec
dépit la détérioration de notre environnement
lié à nos activités humaines.
Alors que faire ? S’empêcher d’entreprendre ?
Ce n’est ni dans notre caractère ni dans la
nature humaine en général !

raphael marchant et cecile taillard fondateur de melchior

1. Le local avant tout

Oui, il serait plus rentable de conditionner nos plats dans des emballages jetables, à usage unique ou compostable (le compostable est intéressant mais rarement composté !)

Il serait plus viable économiquement de faire appel à un seul producteur et de transporter nos produits dans toute la France, comme beaucoup le font. Avec quelques produits locaux en plus, nous aurions pu faire illusion auprès des moins avertis. Mais non, nous n’aurions pas été nous-mêmes en agissant ainsi. Produire local. Fabriquer local. Consommer local. Tel est notre credo.

2. Un traiteur par ville

L’ensemble de ces choix conditionne notre organisation. Au lieu d’échanger avec un seul traiteur, nous échangeons avec un traiteur par ville. C’est plus long, plus compliqué et donc plus cher. Mais cela fait sens et nous rend fiers.

3. Nos propres livreurs

Nous pourrions embaucher des intérimaires ou sous-traiter notre logistique. Nous préférons l’aventure humaine. Nos livreurs passionnés sont aussi des ambassadeurs de notre projet.

4. Des produits responsables

Nous pourrions acheter nos viandes à l’étranger. Sur l’année, ce serait énormément d’argent économisé. Mais s’approvisionner en viande française uniquement et en poisson issu de pêche responsable nous est cher.

5. Réduire notre impact écologique

Alors non, nous ne sommes pas parfaits. Mais oui, nous sommes en chemin et nous nous battons au quotidien pour que nos choix ne soient pas simplement guidés par une rationalité économique mais bien par la minimisation de notre impact sur l'environnement.

C’est souvent un combat très personnel, voire intime, de renoncer à des sources d’économie qui nous sont proposées et auxquelles nous renonçons par respect pour nos valeurs. Mais le jeu en vaut la chandelle, et vous pouvez compter sur nous pour nous améliorer chaque jour un peu plus.

Notre engagement représente une goutte d’eau dans un océan à l’échelle des enjeux de santé et climatiques mondiaux. Mais c’est chacun, à notre échelle, un jour à la fois, un pas après l’autre, et tous ensemble que nous changerons le monde.

Nous ne sommes pas parfaits mais nous sommes en chemin.

Cécile & Raphael

Un sourcing local
des produits

Dès la création de Melchior, nous avons noué des partenariats très forts avec des traiteurs locaux. Chacun d’entre eux s’approvisionne en produits de saison et choisit avec le plus grand soin des matières premières de qualité dont la fraîcheur est primordiale.

Nos plats sont fabriqués à partir de produits frais. Bien entendu, ils ne contiennent ni additifs ni conservateurs.

En alliant écologie et gastronomie, nous avons fait le choix de nous engager dans un sourcing de produits durables et respectueux de l’environnement.

Nous travaillons dur pour que nos approvisionnements soient toujours plus locaux et situés à moins de 50 km de votre lieu de travail.

carottes fraiches

Objectif zéro déchet

Notre objectif : développer notre activité sans générer de déchets.
Cela peut paraître fou et irréaliste, c’est pourtant notre objectif
indéfectible. Aujourd’hui, nous avons mis en place plusieurs actions pour
diminuer au maximum notre impact et nous comptons bien poursuivre
nos efforts.

bocaux en verre

Des bocaux en verre réutilisables

Pas d’emballages plastiques, de sur-emballages ou autres packagings
inutiles qui remplissent les poubelles des cuisines chaque midi.

Chez Melchior, nous avons dès nos débuts proposé des bons petits plats
dans des bocaux en verre.

recuperation des bocaux sales par equipe melchior

Un recyclage engagé

Melchior récupère vos bocaux sales et s’occupe du nettoyage.

bocal melchior remplit de legumes frais et feta

Une lutte contre le gâchis alimentaire

La technologie présente dans nos frigos connectés favorise une gestion des stocks au plus proche de la consommation. Elle permet ainsi de diminuer les invendus et donc de limiter très fortement le gâchis alimentaire.

Nous avons longuement travaillé sur les portions présentes dans les bocaux en croisant ces données avec les retours terrain. Collaboratrices et collaborateurs repartent le ventre plein sans en laisser une miette.

Et s’il reste quelques bocaux orphelins, pas question de les jeter ! Nous travaillons avec le service Too Good Too Go pour que ces invendus soient dégustés plutôt que de finir au compost.